C’était en fait le point culminant du programme appelé «développement séparé» – une tentative de détourner l’attention de l’oppression raciale en proclamant que les individus de couleur noire ont fini par obtenir l’autosuffisance dans leurs États et n’étaient pas des résidents secondaires en Afrique du Sud. Le gouvernement d’apartheid n’a finalement produit que plusieurs Bantoustans ostensiblement indépendants (Bophuthatswana, Venda, Ciskei et Transkei) et une demi-douzaine de territoires apparemment autonomes. La plupart du temps, les gouvernements étrangers ont ignoré la marionnette suggérée dans le but qu’ils étaient; L’Afrique du Sud était vraiment la seule nation au monde à identifier formellement les Bantoustans, et les sélections clés concernant leurs affaires étaient produites exclusivement à Pretoria. J’ai consacré des décennies de vie aux services étrangers d’Israël, ce qui comprend le rôle d’un agent de travail en Afrique australe du ministère israélien des Affaires internationales pendant la période de l’apartheid et parce que l’ambassadeur d’Israël en Afrique du Sud de 1992 à 1994, dans le changement de pays à la démocratie Au cours de ces années, j’ai compris, à ma grande consternation, qu’aucune terre dans le monde (à l’exception de l’Afrique du Sud) n’a contribué beaucoup plus à l’économie globale des Bantoustans qu’Israël. Les Israéliens ont construit des installations de production, des communautés, un centre médical et même une arène de football et une ferme d’alligators sur ces marionnettes d’Afrique australe. Israël a voyagé jusqu’à présent pour en laisser un, le Bophuthatswana, préserver un objectif diplomatique à Tel Aviv, ainsi que son innovateur, Lucas Mangope – évité par le monde pour avoir développé et légitimé l’apartheid en coopérant avec le plan sud-africain – était une récurrence invités en Israël. Depuis que le monde a boycotté le simulacre de Bantoustan, Israël, motivé par le souhait d’une collaboration pour la stabilité avec un marché d’exportation pour son secteur de l’armement, s’est mobilisé pour soutenir le plan d’apartheid. La cohésion de la sécurité d’Israël avec l’Afrique du Sud a commencé en 1974 et s’est terminée simplement avec la sélection de Nelson Mandela en 1994. Le partenariat de 20 ans civils était vaste – qui variait en étendue et comprenait une croissance conjointe des armes entre les deux pays à travers le monde et l’approvisionnement israélien d’éducation militaire et biceps et triceps en Afrique du sud. En réalité, l’Afrique du Sud était parfois le plus grand client des avant-bras israéliens. Cette cohésion a duré pendant près de deux générations au moment où je suis devenu ambassadeur et a été élaboré que même moi, en tant qu’ambassadeur, n’étais pas au courant des détails; il était absolument synchronisé en grande partie par le ministère de la Protection par opposition au ministère des Affaires étrangères. Grâce à cette assistance, Israël a commencé à être certainement l’un des plus proches alliés de l’Afrique australe – financièrement, militairement et diplomatiquement – et a répondu à sa demande d’aider à produire les Bantoustans. En fin de compte, naturellement, ces bantoustans ont abandonné, en plus du plan d’apartheid, en grande partie grâce à la coordination internationale et à la non-reconnaissance, qui incluent le stress et les boycotts – indépendamment des groupements suprémacistes blancs afrikaner défendant les bantoustans jusqu’à la mort des événements de l’apartheid. Il est maintenant parfaitement clair que tente de blanchir un programme discriminatoire et oppressif en produisant des États autonomes fictifs habités par des domaines qui peuvent ne pas avoir de véritables droits politiques propres, qui ne sont pas employés en Afrique australe et qui ne peuvent pas opérer ailleurs. Cette formation, même ainsi, est devenue simplement testée. Avec l’assistance énergique des États-Unis au moyen du soi-disant «accord de votre siècle» du directeur Donald Trump, Israël cherche à présenter et à développer la variante du nouveau millénaire du plan déplorable de l’ancien Afrique du Sud. Fin janvier, Trump a remis un autre cadeau à son bon ami le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avant les élections du 2 mars en Israël, montrant une idée que son gendre et ses émissaires ont créée sans qu’aucun Palestinien n’existe.
C’est un nouveau monde qui est en train de naître. L’époque est époustouflante : les robots débarquent dans nos existences. Ils trottent sur leurs deux gambettes, bavardent, interagir. Dans un avenir très proche, ils vont faciliter la vie des personnes âgées, servir les ouvriers, mitonner de bons petits plats avec nous ou pour nous… Tout ça est maintenant si proche qu’avant-hier j’ai suivi un symposium à Londres qui leur était intégralement dédié. Le sujet de ce séminaire portait notamment à la collaboration entre homme et robot et ses conséquences, tant dans l’entreprise que dans le secteur des services. Le symposium ne se préoccupait pas de innovations technologiques spécifiques. La problématique était davantage examinée sous l’angle la question du facteur humain, la conduite du changement dans les process industriels, des innovations attendues. En écoutant certains participants, j’ai constaté qu’un mouvement majeur s’était opéré dans les mentalités : les robots ne sont plus regardés comme des substituts, mais comme des adjoints. A tel point qu’on ne parle d’ailleurs plus de robots, mais de robots humanoïdes collaboratifs, portant le nom de cobots. La robotique collaborative invente les robots non en tant que travailleurs travaillant à la place des humains mais de manière à ce qu’ils travaillent au contact et en association avec l’homme. Cette relation d’un nouveau genre impose d’une part une intelligence embarquée, utilisant les senseurs internes du robot, mais réclame aussi que le robot soit compliant, c’est-à-dire que ses gestes soient élastiques, Agence web E Sport plus proches de ceux que l’on remarque dans la nature. La robotique collaborative concerne aujourd’hui la plupart des industriels, grandes entreprises ou de PME. L’adaptabilité, la sécurité et la valeur qu’offrent ces robots collaboratifs en font des outils ouvrant la voie à l’automatisation de tâches peu ou pas robotisées à ce jour. La robotique collaborative est en définitive le deuxième stade de robotisation des entreprises, le composant inséparable de l’usine du futur pour rehausser la compétitivité des entreprises. Une chose est sûre : les années qui viennent vont être très exaltantes. Les robots vont devoir être convenables et intégrés. Mais ce colloque m’a convaincu. Et je suis prêt à parier que d’ici quelques années, nous aurons tous un Romeo au bureau ou à la maison pour nous assister dans ses occupations.